Il est temps de se mettre au boulot !
La tendance est incertaine. L’alternance de pluie et de beau temps se conjuguent avec incertitude quant à la reprise économique. Les Européens s’interrogent tous sur une possible reprise de la croissance en Europe et le doute s’installe. Les gouvernements sont à l’affût d’économies à réaliser et de nouvelles méthodes de taxation. Ce sont de nombreux facteurs qui tendent à augmenter la morosité des peuples. Pourtant, que nous soyons en crise ou en reprise, il faut aller de l’avant. C’est une volonté, un besoin, une nécessité. Comment recréer une dynamique positive ?
Alors que les citoyens attendent des solutions miracles, les gouvernements se doivent de renflouer les caisses. Il n’y a pas de solutions miracles, soit des économies sont trouvées, soit l’imposition doit être augmentée. Le schéma d’une relance de la compétitivité s’oppose plus que jamais à celui de l’austérité.
Les contribuables se sentent agressés dès lors qu’un nouvel impôt est imaginé. L’ironie du sort, c’est qu’énormément d’énergie est dépensée pour critiquer, à juste titre ou non d’ailleurs, de nouvelles mesures. Si toutes les énergies se concentraient plutôt sur la résolution des problèmes économiques, les mesures salvatrices qui en découleraient pourraient être mise en place rapidement afin d’être plus efficaces. Si la politique — en tant qu’organisation méthodique, théorique et pratique des actions d’un gouvernement au pouvoir — est la clé de voûte de la démocratie, elle peut constituer un frein considérable à la prise de décision.
Pour qu’un réel bouleversement survienne, il faut redonner confiance et redresser ainsi le moral des marchés et des ménages. Il faut également continuer à travailler sur le problème de la dette. Bien plus facile à dire qu’à faire tellement l’équilibre à trouver est délicat.
A son échelle, l’individu peut contribuer à ce redressement. Il est temps de se retrousser les manches et de travailler davantage. Pour ceux qui ont la chance de travailler, il est nécessaire de comprendre que le fruit de son labeur permet de développer l’activité économique de notre pays. Les salariés se sentent régulièrement oppressés et négligés tandis que les chefs d’entreprises ont du mal à faire face. Le dialogue doit être renforcé.
En cette période de réformes fiscales du gouvernement, les esprits s’échauffent. La tension des chefs d’entreprise est palpable. Les nouvelles mesures fiscales pourraient mettre en péril leurs entreprises. La crainte du changement ébranle le moral du patronat et se répercute sur l’emploi. Il leur est extrêmement difficile de prendre des décisions alors que le futur reste incertain. Cet argument, largement utilisé pour contester est relativement peu crédible. Par définition, un chef d’entreprise se doit d’anticiper les bouleversements et de préparer son entreprise aux changements.
Face à ces situations incertaines, il faut innover, créer et imaginer de nouveaux produits, de nouveaux services. Faisons travailler davantage l’Institut National de la Propriété Industrielle ! Exportons de nouveaux produits et faisons pencher la balance commerciale en notre faveur ! Il est donc temps de s’arracher le poil de la main et de foncer tête baissée vers la création et le développement de nouvelles idées !
Bonne Lecture !