• Le terme de start-up est aujourd’hui utilisé pour décrire à la fois de jeunes entreprises innovantes, bagarreuses, des applications à la mode, et de gigantesques sociétés de haute technologie principalement dans l’informatique et le digital, mais aussi dans la biologie, et plus généralement dans les domaines scientifiques. Dans ce sens, start-up recouvre une culture de l’innovation et du progrès technologique pour résoudre des problèmes insurmontables. C’est l’idée selon laquelle tout le monde peut partager avec tout le monde, peut financer directement grâce au web, peut utiliser les ressources des autres, etc.

  • Selon le rapport 2013 de l’OMC, les États-Unis restent le premier importateur et exportateur mondial de marchandises, avec un commerce total de 3 881 milliards de dollars US en 2012. Leur déficit commercial est de 790 milliards de dollars US, soit 4,9 % de leur PIB.

    La Chine suit de près les États-Unis, avec un commerce total des marchandises de 3 867 milliards de dollars US en 2012. Son excédent commercial était de ...

  • Le conseil d’administration se compose de 3 à 18 membres (voire jusqu’à 24 temporairement (3 ans) suite à une fusion avec une autre S.A.). L’administrateur peut être une personne physique ou morale. Si une entreprise est nommée administrateur, cette entreprise nomme un représentant permanent qui a les mêmes droits et devoirs que les administrateurs personnes physiques. Généralement, les statuts des S.A. prévoient que les administrateurs soient actionnaires de la société...

  • La S.A., ou société anonyme, est la plus connue des formes juridiques classiques des sociétés, mais la moins utilisée. La plus connue parce qu’elle est la seule dont les titres peuvent être cotés en bourse : vous en entendez donc parler au journal télévisé tous les jours, c’est la forme des grandes entreprises. La moins utilisée parce qu’elle est la plus contraignante compte tenu de la lourdeur de sa gestion.

    On crée rarement une société sous forme de société anonyme, en revanche, celle-ci peut le devenir. Elle se transforme en société anonyme pour élargir son actionnariat et lever des fonds plus facilement, parce que la taille de l’entreprise le permet.

  • Le Grand Paris c’était l’arlésienne, le type de sujet que l’on a l’impression d’avoir toujours connu, qu’il a toujours été au cœur de toutes conversations… Depuis 2007, l’idée circule que Paris est en train de perdre sa place de métropole mondiale et qu’il faut un projet ambitieux pour se hisser au niveau de Tokyo, New-York ou Londres. En effet, aujourd’hui Paris, c’est toujours la ville de Paris et une frontière avec sa banlieue ; un peu comme toute notre bonne vieille France : hiérarchisée, cloisonnée, rigide. Or, les métropoles mondiales sont ouvertes, fluides et dynamiques. Il faut déconcentrer, redynamiser...

  • Pourtant, sans être un écologiste militant, il faut bien reconnaître que la production de déchets est inquiétante : chaque français produit par an, 374 kg d’ordures ménagères (déchets de vos poubelles) et 214 kilos d’autres déchets tels qu’encombrants, déchets « verts » (des jardins), et autres apports en déchetterie (chiffres de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (ADEME) dont l’année de référence est 2009), soit près de deux fois plus qu’en 1960.

  • Vous pouvez déposer le brevet à titre personnel bien entendu, mais aussi au titre d’une personne morale (société). Vous pouvez également le faire déposer par un mandataire : conseil en propriété intellectuelle habilité (mention « brevet) ou un avocat. Cela revêt une importance majeure dans le cadre d’un inventeur salarié : les droits sur l’invention reviennent soit à la société, soit au salarié selon les conditions de création. 90 % des inventions sont le fait d’inventeurs salarié. Deux situations se présentent...

  • INPI---logoIl y a d’autres moyens de protéger ses créations qui ne sont pas des titres de propriété industrielle comme l’est le brevet. Une protection simple et peu onéreuse est la Lettre recommandée avec accusé de réception envoyée à vous-même, c’est un peu la protection discount. Elle prouvera que vous avez bien réalisé votre création à telle date, mais ça s’arrête là.

  • Les cabinets d’expertise-comptable vivent une époque de changements. En effet, alors que les prestations classiques de tenues des comptes en lien avec la fiscalité représentent 70 % de leur chiffre d’affaires, leur rentabilité est en constante diminution. Ces prestations sont de plus en plus sous-traitées à l’étranger par les grands du secteur. Il faut donc se réformer, se concentrer sur l’expertise et le savoir-faire, le conseil, les services auprès des entreprises qui n’attendent plus aujourd’hui seulement des comptes annuels et une liasse fiscale, mais un véritable accompagnement dans leurs projets et leur quotidien.

  • Ce n’est qu’en 2012 que les cabinets d’expertise-comptable ont pu faire de la publicité (Article 152 du code de déontologie, porté par le décret du 30 mars 2012) avec la limite de « ne pas porter atteinte à la décence et à la dignité de la profession, comporter un contenu empreint de retenue… » Le principe est donc de permettre aux professionnels de faire de la publicité.

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