• Les véhicules ou engins, quelle que soit leur nature, conçus pour transporter des personnes ou à usages mixtes, qui constituent une immobilisation ou, dans le cas contraire, lorsqu’ils ne sont pas destinés à être revendus à l’état neuf, n’ouvrent pas droit à réduction. Il en est de même des éléments constitutifs, des pièces détachées et accessoires de ces véhicules et engins...

  • La nouvelle crise économique approche à grands pas… La dette globale mondiale a fait un bond en avant depuis 2008 après la faillite de la banque Lehman Brothers qui fit chuter toutes les places boursières mondiales. Cette dette mondiale est en effet passée de 180% du produit intérieur brut mondial en 2013 à 212% cette année. Quant à la dette globale de la zone euro, elle atteignait 257% en 2013. Ce triste record risque bien de croître encore. Non seulement cette prochaine crise est donc prévisible, mais elle est même ”prévue” depuis quelques mois. La date de cette crise est elle aussi connue : le printemps 2015, autrement dit demain.

  • Prenons l’exemple d’une barquette de steak-haché. Avant de se retrouver dans votre assiette, toute une filière a travaillé, de la naissance de la bête à la mise en rayon de la barquette. Dans le cas d’une viande d’origine française, le bovin étant élevé et abattu en France, l’éleveur est à l’origine du produit. Il s’agit surement d’une vieille vache, ou bien d’un taurillon (comprendre veau de 15 à 18 mois engraissé pour sa revente rapide) qui sera la base de votre steak-hachée. La bête est achetée par un négociant en bestiaux. Il est chargé de négocier les prix pour le compte des abattoirs. Ces derniers sont chargés de réaliser tous les contrôles sanitaires nécessaires et de tuer les bêtes. La viande est ensuite découpée. Ce sont les morceaux non présentables suite au désossage de la bête qui fournissent la matière première. À l’atelier de steaks hachés, les morceaux sont hachés, pesés, emballés et expédiés à la surface de vente.

  • Chaque salarié ne produit pas le même effort pour l’entreprise. Certains se donnent corps et âme et méritent d’être récompensés alors que certains autres salariés se classent plutôt dans une catégorie “poids mort” pour la société. Comment récompenser ceux qui le méritent ? Comment booster ceux qui pourraient s’investir plus ?

  • Le calcul de l’excédent brut d’exploitation (EBE) permet donc d’analyser la rentabilité économique de l’entreprise sans prendre en compte sa politique d’investissement (amortissement...), ni sa gestion financière. De même les éléments exceptionnels sont totalement effacés ce qui permet d’analyser la performance d’une entreprise malgré un résultat négatif lié à une importante charge exceptionnelle.

  • Le Grand Paris Express est un immense plan de transport […]

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