Pour faire suite à notre article sur les pouvoirs de décisions des salaires des patrons (et ici nous pensons aux grands patrons), et si le patronat n’arrive pas à comprendre, qu’en l’état actuel, l’autorégulation ne fonctionne pas, le salaire des patrons sera encadré, et pas forcément de la meilleure manière. Par ce symbole des rémunérations, la gouvernance de nos grandes entreprises semble elle aussi promise au changement.
Notre très ferme volonté de combattre l’exercice illégal de la profession qui se développe de manière exponentielle dans notre région en nous portant directement atteinte sur le plan économique et en matière d’image, nous a conduit à créer et à diffuser massivement un flyer et son affiche.
Le concept : Jouer en mode « solo » online.
C’est une véritable petite révolution pour les joueurs. La campagne solo se joue connectée. Les profils des joueurs sont créés en ligne et un espace d’achat/vente d’artefacts est directement inclus au jeu via « l’hôtel des ventes ». Toutes vos actions effectuées : sorts, attaque, défense, récupération d’objets... sont assujetties à votre connexion et donc à votre « latence ». La latence est calculée par le rapport « capacité des serveurs » sur « nombre de joueurs connectés ». Bien que certains joueurs connaissent quelques difficultés et ralentissements, l’essentiel est fluide et ce à toutes heures.
Fleur Pellerin a été nommée ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique. Ce ministère est sous tutelle du Redressement productif d’Arnaud Montebourg. A trente-neuf ans, Mme Pellerin est donc en charge d’un pôle économique essentiel, vecteur de croissance et de dynamisme. La croissance des PME travaillant dans le secteur de l’économie numérique est forte. Il faut donc encourager leur croissance et favoriser le secteur. L’industrie a également besoin d’être redynamisée.
Le shadow banking n'est pas un nouveau produit hyper sophistiqué pour ingénieurs tombés dans la débauche de la finance. Cela recouvre "simplement" les opérations financières qui sont passées en dehors des banques classiques par des intermédiaires financiers qui n'obéissent pas aux mêmes règles, ou qui n'obéissent à presque aucune règle.
Pour se jouer de la crise, rien de mieux que des parties de jeux de société. Avant les longs week-ends du moi de Mai, et puisque tout le monde est à la maison, profitons-en pour nous éloigner un temps de ces écrans qui envahissent nos vies, de ces sombres donjons hantés où vous coupez la tête de morts-vivants à longueur de nuit pour vous détendre. Et puis pour revenir au sujet, selon une étude du Cereq, vous avez plus d’une chance sur deux d’être embauché en contrat précaire à la sortie de vos études, et plus de la moitié serons encore chez leurs parents 3 ans après la fin de leurs études. Donc autant en rire !
Les événements postérieurs à la clôture sont de deux natures : soit ils ont un lien direct et prépondérant avec une situation né dans l'exercice antérieur, et il faut les comptabiliser sur l'exercice précédent, soit ils n'ont pas de lien direct avec l'exercice précédent, et si ils sont d'une gravité exceptionnelle et remettent en cause la continuité de l'exploitation doivent apparaître en annexe.
Deux événements de la semaine nous incitent à réagir. Le premier : Maurice Levy est le patron de Publicis, et son conseil de surveillance vient de lui octroyer un bonus de 16,2 millions d'euros, ce qui fait hurler toute la population bien pensante, d'autant plus en période électorale. Le deuxième est le rapport « Fiscalité et redistribution en France, 1997-2012 » du tout nouvel Institut des politiques publiques. Ce qu'ils ont en commun est la méfiance, voire le rejet de l'entrepreneuriat et de sa réussite en France, alors que l'aristocratie, elle se préserve.
Certains d’entre vous ont déjà entendu parler du programme ERASMUS (European Region Action Scheme for the Mobility of University Students). C’est un programme d’échange qui permet à des étudiants d’effectuer une partie de leur cursus dans une autre université européenne avec laquelle leur université est liée par un accord de partenariat.
Les effectifs de ce programme sont d’ailleurs très encourageants : 971 établissements d’enseignement supérieur français possèdent la Charte universitaire Erasmus pour l’année 2009‑2010. Et ce sont 28 283 étudiants qui ont effectué une mobilité Erasmus en 2008‑2009. Les trois premiers pays d’accueil pour les étudiants Erasmus au départ de la France sont l’Espagne, le Royaume‑Uni et l’Allemagne. Une tendance nette se dégage : la mobilité vers les pays scandinaves est en hausse constante.