• Le CV anonyme a permis de mettre en lumière les inerties du processus de recrutement, à savoir principalement l’homophilie qui veut qu’un recruteur recrute quelqu’un comme lui, et donc un processus de reconduction des compétences, alors que la créativité et les points de vue multiples permettent notamment en temps de crise, de trouver des solutions, des produits originaux...

  • Les ventes sur internet devraient atteindre 45 milliards en 2012 après une hausse de 21 % au troisième trimestre. A quelques semaines des fêtes de Noël, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), publie les résultats de son enquête trimestrielle sur les ventes sur internet. Cette étude, réalisée à partir des données recueillies auprès des sites « leaders » participant à l’indice iCE 40 et des informations communiquées par les principales plateformes sécurisées de paiement (regroupant plus de 100 000 sites), permet de tirer les enseignements suivants sur l’évolution du marché.

  • On a tous tendance à idéaliser le diplôme d’école de commerce. C’est le saint Graal qui permet d’ouvrir toutes les portes. Les écoles de commerce, selon leurs spécialités, offrent de nombreux débouchés dans les filières en finance, marketing et gestion. Pour autant, beaucoup de jeunes désirent étudier en école de commerce pour devenir entrepreneur. Il y a comme un léger malentendu. Quelles peuvent être les disciplines à apprendre pour entreprendre ? Et pourquoi associe-t-on souvent le diplômé d’école de commerce à un entrepreneur ?

  • Le système actuel d’orientation propose aux étudiants de se poser des questions à plusieurs stades de leur scolarité. Au collège, entretien d’orientation et stage d’initiation à l’entreprise sont de mise. Au lycée, les conseils de classe et les professeurs aiguillent leurs élèves en fonction de leur capacité du moment. Arrivé en terminale, le futur bachelier ne doit plus être en période de réflexion mais doit passer à l’action et faire ses choix sur la procédure APB (Admission Post Bac). Toutes ces étapes font partie intégrante de notre système pour deux raisons. D’une part, l’État a besoin que tous les corps de métiers offrant des perspectives d’emploi en France soient représentés de telle sorte que les entreprises implantées sur le territoire n’aient pas besoin de recruter à l’étranger. D’autre part, l’État doit « réguler » la future masse employable. Par exemple, il est toujours appréciable de ne pas avoir des « déserts médicaux » dans notre pays suite à l’insuffisance de médecins formés auparavant.

  • Tout travail mérite salaire. Si cet adage est juste, il n’en demeure pas moins difficile de parler d’argent avec un client. Les prix sont trop élevés, les facilités de paiement sont insuffisantes… Bref, tout est toujours trop cher ! C’est pour cette raison qu’il ne faut pas trop tourner autour du pot. Prenez le service ou le produit qui vous paraît le plus adapté aux besoins de votre prospect et donnez-lui le tarif. En principe, vous avez une réaction immédiate. Si votre prospect est intéressé par votre produit, il va généralement vous indiquer soit que le prix lui convient, soit qu’il souhaite en discuter. A partir de cet instant, vous commencez à « ferrer le poisson ».

  • Il faut un petit grain de folie pour vouloir monter sa boîte. Certains vous diront que c’est un travail de longue haleine et d’autres vous diront que c’est arrivé un peu par hasard. Pourtant, monter une société n’est jamais anodin. C’est le produit d’un travail accompli ou à accomplir. Quelques chefs d’entreprises, on ne peut pas dire qu’ils sont légion, ont défrayé la chronique pour leur exploit en matière de création de société. Certains ont réussi leur pari de créer un modèle économique fondé sur l’exploitation d’un ou plusieurs sites web. Nous allons, quant à nous, essayer de monter une société et son activité en trois semaines.

  • Comment les salariés, qui sont créateurs de la richesse de l’entreprise, peuvent-ils être associés aux bénéfices de l’entreprise ? Comment concilier les intérêts des salariés et ceux du patronat en leur donnant un but commun ? C’est toute la question des divers mécanismes d’association des salariés aux bénéfices. Le concept est récent. Il consiste à associer les salariés au capital et à la réussite de l’entreprise.

  • Le confort est une notion extrêmement importante qui ne se révèle qu’après les 15 premiers jours qui suivent votre installation. En effet, il n’y a rien de plus désagréable que d’être mal installé et de se tortiller dans tous les sens pendant de longues journées sans trouver la position idéale pour travailler.

  • Vous devez pouvoir travailler pour votre société dans un local approprié sans contraintes extérieures. Le cumul d’une vie personnelle, vie scolaire et vie d’apprenti en entreprise est déjà ardu. Pour que vous puissiez réussir à trouver du temps pour votre projet, il est essentiel de considérer ce dernier comme votre récréation. Il faut être honnête, personne ne peut sur une longue période cumuler plusieurs emplois.

    Amusez-vous à monter votre société. Vous le savez, il sera toujours plus facile de s’amuser que de travailler !

  • Traditionnellement, le banquier est décrit comme l’ennemi à abattre, la personne insensible qui refuse catégoriquement tout ce que l’on peut lui demander, le professionnel qui reste inflexible. à chaque demande d’emprunt quelle qu’en soit son affectation. Pourtant, débloquer de la trésorerie pour son entreprise est souvent vital. Il faut parfois acheter d’abord, pour vendre ensuite. Comment aborder cette étape, sans stress, et maximiser ses chances de réussite ? Il existe 3 points essentiels à préparer en amont de votre rendez-vous.

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