Réaliser des économies d’échelle dans une PME : Il est indispensable, pour s’intéresser aux volumes de dépenses et aux coûts de production, d’avoir une information financière fiable et précise. La comptabilité est donc la source d’informations la plus adaptée pour renseigner le gérant ou le contrôleur de gestion. Il faut procéder méthodiquement et analyser les postes de dépenses les plus élevés.
La loi de finances 2015 offre une sorte de pause dans la démence fiscale qui avait cours ces quelques dernières années. Pas d’inquiétude, il y a bien de quoi remplir ces quelques pages, mais le nœud s’est arrêté de se serrer autour de la gorge, ce qui ne signifie pas que la pression fiscale reflue… juste une sorte de pause. Du point de vue global, la loi de finances laisse le taux de prélèvements obligatoires stable en 2015, 2016 et 2017 à 44,5 %. On devrait même voir les dépenses publiques passer de 56,5 % en 2014 du PIB à 56,1 % en 2015.
La souscription au capital d’une PME (au sens européen du terme) non cotée ou en phase d’amorçage (moins de 5 ans) permet de bénéficier d’une réduction de 18 % d’impôt de la somme versée dans la limite de 50 000 euros pour un célibataire et de 100 000 euros pour un couple ; la réduction d’impôts étant donc plafonnée à 18 000 euros ou 9 000 euros selon la situation du contribuable.
La loi de finances 2015 renforce le contrôle fiscal. Tout d’abord, le droit de communication de l’administration fiscale se voit élargi, et le refus de communication plus sévèrement puni...
Le barème commence donc à 4 % avec la fraction de revenu supérieure à 9 690 euros. Annoncée depuis quelques temps, nous pensions que cette mesure allait être compensée par un impact à la hausse sur les autres tranches : et bien non, pour une fois cette mesure n’est pas compensée.
Partir au ski constitue un budget important. Le prix d’une semaine de ski à 4 peut varier du simple à plus du double de 1 362 € aux 7 Laux à 2 873 € à La Plagne. Ci-dessous, le comparatif du budget moyen pour une semaine au ski en février sur 5 stations par région dans les Alpes du Nord, les Alpes du Sud et les Pyrénées en comptant le prix d’une location de vacances pour 4 personnes dans une résidence standard, le prix des forfaits et de la location de matériel.
Toutes les pistes sont ouvertes, on prend le télésiège et, […]
Le développement du tourisme est un enjeu économique et culturel majeur. Les territoires réclament toujours plus d’équipements, d’aménagements et d’installations. Il est dans l’intérêt d’un département, d’une région, d’une communauté de communes, de développer le tourisme. Plus la région vit économiquement, plus l’assiette de l’imposition s’élargit.
La nouvelle crise économique approche à grands pas… La dette globale mondiale a fait un bond en avant depuis 2008 après la faillite de la banque Lehman Brothers qui fit chuter toutes les places boursières mondiales. Cette dette mondiale est en effet passée de 180% du produit intérieur brut mondial en 2013 à 212% cette année. Quant à la dette globale de la zone euro, elle atteignait 257% en 2013. Ce triste record risque bien de croître encore. Non seulement cette prochaine crise est donc prévisible, mais elle est même ”prévue” depuis quelques mois. La date de cette crise est elle aussi connue : le printemps 2015, autrement dit demain.
La question peut paraître bête, mais le sujet est réel. Pourquoi faut-il continuer à soutenir une activité qui peut paraître perdue ? Tout simplement parce que l’industrie est synonyme de création de richesses, d’emplois et surtout d’innovation. Les services qui se développent autour de l’entreprise n’auraient plus vraiment de raison d’être sans les industries. De plus, certaines industries se révèlent être hautement stratégiques pour un pays.