Une bonne publicité doit avoir 4 grandes caractéristiques : L’impact, c’est la capacité à surprendre le lecteur et à le faire s’arrêter sur votre publicité. La mémorisation, c’est sa qualité à être mémorisée par le lecteur au moment où il fera ses courses ou ira sur internet… La compréhension, c’est la capacité de la publicité à être comprise par les lecteurs et à le pousser à agir ; la mise en avant d’un problème ou d’un bénéfice qui pousse le prospect à réfléchir et à agir en achetant le produit de la marque et pas un autre. Le positionnement, c’est l’adaptation du message à l’image voulue par l’entreprise. Ce positionnement ne doit pas être en total décalage (à moins que cela ne soit voulu), afin de ne pas donner de dissonance sur la marque.
Qu’est-ce qu’une bonne publicité ? Celle qui se voit ou celle dont on se souvient ?
Certes la publicité doit être immédiatement visible sur le support choisi, mais le plus important est la résonnance qu’elle aura après lecture.
Le travail de l’agence ne s’arrête pas à la création. Elle propose également la diffusion, le plan média. Là encore, les choix doivent être adaptés. Il faut bien connaître les médias, suivre l’évolution des revues, de la diffusion, du lectorat, du nombre d’abonnés, des programmes rédactionnels, des offres de bouclage… L’agence doit non seulement proposer de bonnes créations à ses clients, mais également assurer la diffusion optimale du message.
Comment réussir une bonne pub ? Qu’est-ce qui fait qu’une pub accroche l’attention et marque les esprits ? A-t-on besoin d’investir dans de la pub lorsque l’on crée une entreprise ? Est-il possible de mesurer le ROI (retour sur investissement) d’une pub ? Comment minimiser les coûts d’une bonne pub ? A-t-on vraiment besoin de faire de la pub ? Autant de questions auxquelles une agence se doit de répondre clairement.
Est-il nécessaire de faire de la pub ?
Le matraquage publicitaire marche toujours mais il a un coût énorme et un ROI difficilement mesurable. Plus ça va, plus nous entrons dans une ère où le client est roi mais aussi le meilleur commercial que l’on puisse imaginer. Aujourd’hui, un client insatisfait en avertit 100 via les réseaux sociaux. Un client satisfait en parle à 100 personnes gratuitement.
En résumé, la croissance des réseaux sociaux montre qu’aujourd’hui il est de plus en plus difficile de vendre un produit de mauvaise qualité à prix d’or car les clients font de plus en plus de bruit… Du bon comme du mauvais…