« Dès lors que les banquiers ont considéré que l’on était des interfaces sécuritaires sérieuses dans les exigences de Bâle II puis de Bâle III, les experts comptables ont pu s’inscrire dans des engagements de sécurité vis-à-vis des banquiers. Concrètement, cela signifie que lorsque des experts comptables font des prévisionnels, on sait que le banquier va regarder le dossier autrement. Il va le considérer solide, il va le considérer professionnel et donc les chances de faire aboutir le dossier sont plus grandes. »