Les patrons sont tous pourris, seuls les profits les intéressent. Dividendes, rémunérations exubérantes, ce sont les mots qui reviennent le plus lorsque leurs détracteurs parlent de patronat. Il convient pourtant de distinguer plusieurs catégories de chefs d’entreprises. Un chef d’entreprise peut être un créateur d’entreprise. Il peut également reprendre une société par filiation ou même racheter des parts d’une société existante. Cette mauvais réputation des patrons, soutenue par deux siècles de lutte sociale est inacceptable aujourd’hui. Un patron se bat pour générer des profits, fait touner l’économie, emploie des salariés, paye beaucoup d’impôt. Bref, la société repose sur les épaules des entreprises quelque soit leur taille.
Chaque salarié ne produit pas le même effort pour l’entreprise. Certains se donnent corps et âme et méritent d’être récompensés alors que certains autres salariés se classent plutôt dans une catégorie “poids mort” pour la société. Comment récompenser ceux qui le méritent ? Comment booster ceux qui pourraient s’investir plus ?