Rentrer une balance générale dans le système, puis foncer dans le grand-livre pour aller pointer les comptes avec les classeurs de factures, c’est du commissariat révolu. Dans le même genre, et je suis certain que vous en connaissez, c’est le CAC qui, au 20 juin, va se faire une bouffe avec le directeur général de l’entreprise à auditer. Il discute deux heures avec lui, ramène quelques papiers (histoire de) et vous demande de pointer le grand-livre client, émet son rapport et classe l’affaire. Je dis Non !
Cette nouvelle chronique vous est réservée, à vous qui contrôlez le travail des autres et travaillez avec un CAC. Je vous souhaite une excellente rentrée, extrêmement chargée puisque le législateur nous aime et pense à nous tout le temps : vous avez donc pu découvrir comme moi la pile de publications de cet été ...