La mode de seconde main consiste à donner une deuxième vie à un vêtement déjà porté ou utilisé. En d’autres termes, il s’agit de vêtements d’occasion mis en vente afin d’éviter qu’ils restent au fond du placard, ou qu’ils finissent à la poubelle.
Les Douanes notent que « près de la moitié de la baisse des exportations s’explique par la chute dans le secteur des transports (- 59,9 %) ». Les exportations de produits aéronautiques et spatiaux continuent de s’effondrer (- 64,2 % au 2e trimestre) et celles d’automobiles, d’équipements et de bateaux participent également de cette contraction.
La balance des paiements mesure les transactions entre les acteurs économiques (banques, entreprises, ménages, administrations publiques) qui exercent leur activité sur le territoire national et ceux qui exercent leur activité à l’étranger. La balance des paiements présente les transactions courantes et les transactions financières.
Ces transactions ne sont pas de même nature. On doit distinguer :
celles qui portent sur des valeurs économiques (échanges de biens et de services, rémunération des ressources), celles qui portent sur des actifs financiers (acquisition ou cession de propriétés de créances, etc.), et celles qui sont sans contrepartie.
Selon le rapport 2013 de l’OMC, les États-Unis restent le premier importateur et exportateur mondial de marchandises, avec un commerce total de 3 881 milliards de dollars US en 2012. Leur déficit commercial est de 790 milliards de dollars US, soit 4,9 % de leur PIB.
La Chine suit de près les États-Unis, avec un commerce total des marchandises de 3 867 milliards de dollars US en 2012. Son excédent commercial était de ...
Rien à faire, il faut que nous ne fassions rien comme les autres. En France, la balance commerciale au sens strict ne représente que les marchandises (les “biens”). Les importations et exportations de services font l’objet d’une comptabilisation distincte (la balance des services), et les deux comptes sont réunis dans ce qu’il convient d’appeler “La Balance des Biens et Services” qui est la balance commerciale de pratiquement tous les autres pays du monde.
Le moins que l’on puisse faire pour une école est d’être « reconnue par l’Etat », c'est-à-dire que l’état en a fait son contrôle global (pédagogie, situation financière, administration…), et que les diplômes soient «visés par le ministre chargé de l'Enseignement supérieur » (le fameux « visa »), c'est-à-dire bénéficiant de la garantie de l’état, et permettant notamment à l’école de conclure des partenariats à l’étranger. Ces demandes ne sont pas automatiques, et doivent normalement être faites tous les 6 ans.