• Alors que devons-nous craindre ? Depuis quelques jours, tous les médias s’affolent mais rappelons-nous que Donald Trump n’avait pas caché lors de son discours d’investiture à la convention républicaine, ses objectifs emprunts de tendances isolationnistes qui pourraient conduire à une politique étrangère américaine avec sortie de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce). Les accords sur le climat seraient remis en cause… le chômage va-t-il vraiment diminuer aux Etats‑Unis ?

  • Alors que choisir ? Faut-il considérer que lorsque la plupart des autres vont dans une direction c’est sûrement la bonne ? Quelle est la probabilité que tout le monde se trompe ? Sommes-nous des moutons ? Puis-je fonder mon choix sur la pensée collective en prenant ainsi le risque qu’elle puisse être faussée au gré des avis et des sondages, ou dois-je garder mon libre arbitre ? Si l’on pense qu’en se fiant totalement à un groupe de personnes, un risque d’erreur existe, il est alors nécessaire d’estimer la probabilité que ce risque se réalise. Si celle-ci est forte, il faut écarter le risque ; si au contraire, elle semble faible, il ne faut pas trop s’en soucier. En outre, selon l’importance du sujet, des enjeux, il faut plus ou moins se laisser influencer par l’opinion générale.

  • Il est vrai qu’il y a une certaine forme de jalousie pour certains vis-à-vis des créateurs d’entreprises. Je ne compte plus les « ça ne fonctionnera pas » ou les « mais ça te rapporte ton truc ? ». Pourtant, ces interactions sont souvent source d’amélioration des projets puisque les intervenants ne cherchent qu’à « casser » l’idée. Me concernant, l’effet inverse s’est produit dans la mesure où cette situation a généré un sentiment de « challenge ». C’est ainsi que mes projets personnels ont pu évoluer rapidement. Il faut donc savoir recevoir des critiques et les transformer en critiques constructives afin d’en retirer un bénéfice.

  • Oui, vous l’avez compris, nous n’avons pas fait que jouer à Pokémon Go cet été ! Nous avons également de nombreuses surprises quant aux thématiques de cette année et sommes fiers de pouvoir vous proposer nos nouveaux cours à des prix toujours aussi mini.

    Voilà pour le résumé de cet été, nous espérons que vous êtes tout bronzés, bien reposé et plein d’énergie pour attaquer cette nouvelle année !

    Autre sujet, vous êtes nombreux à nous envoyer vos petits commentaires sur des questions que vous vous posez au travail. Quel que soit votre niveau et quel que soit votre contrat de travail, vous pouvez toujours nous solliciter pour obtenir des réponses à vos problèmes. Vous êtes également nombreux à commenter l’établissement de votre formation. Je vous rappelle que vous pouvez toujours nous écrire directement à l’adresse comptazine@gmail.com. Un membre de l’équipe sera toujours ravi de pouvoir vous répondre ou vous aider si besoin.

  • Comme nous parlons très souvent de management dans nos numéros, j’ai souvenance de la théorie du bien-être au travail, concept star aux États-Unis, qui est de plus en plus appliqué en France. Et bien, chez Comptazine, nous avons également notre petit bout de bonheur au travail. Nous avons installé Steam et des jeux en ligne pour couper les phases intenses de travail avec un bon exécutoire en ligne ! Nous faisons d’une pierre deux coups. D’une part, nous continuons à favoriser l’esprit d’équipe et les échanges puisque nous jouons en coopération et d’autre part, nous faisons un vrai break mental en sortant complètement de notre cadre habituel de travail. Vous n’avez plus qu’à nous envoyer des messages privés sur Comptazine.fr pour obtenir nos identifiants Steam !

    Mais revenons dans notre monde bien réel, nous espérons que cet été va être plutôt agréable et reposant. Ce n’est pas vraiment le cas en ce moment avec l’utilisation du 49-3. C’est d’ailleurs un bon coup de com’, si vous tapez article 49-3 dans Google, vous arrivez directement sur la page du gouvernement. “Manuel Valls a décidé, mardi 10 mai 2016, d’engager la responsabilité du Gouvernement sur le vote du projet de loi Travail, conformément à l’article 49.3 de la Constitution.”

  • Nous sommes dans l'attente d'un événement ! Nous espérons tous que quelque chose va se produire. Un changement politique ? Économique ? Est-ce que quelque chose va nous arriver ? Cela pourrait bien changer notre façon bien française de voir les choses en tout cas. Le “J'espère qu'il ne t'arrivera rien aujourd'hui. Bonne journée !” pourrait bien disparaître.

    Je propose à la place une version très américaine. On pourrait dire : “Passe une bonne journée. J'espère qu'il t'arrivera plein de bonnes choses !” Dans cette dynamique, chacun passera sa journée à provoquer quelque chose de souhaitable. A défaut, les personnes les moins enjouées ou les plus chanceuses passeraient leur temps à attendre passivement que quelque chose arrive.

  • Or la situation semble figée. En fait, quand on n’y réfléchit bien, c’est un peu normal. Notre système politique fonctionne avec des individus qui font de la politique leur carrière. Pour réussir professionnellement dans le privé, il est essentiel de respecter sa hiérarchie pour éviter toute déconvenue. Ainsi, quand le travail est effectué ou paraît l'être, le salarié peut, légitimement, demander une augmentation, ou une évolution de poste. En politique, c’est la même chose. Chaque politique doit se faire aimer de ses électeurs, sous peine de voir sa carrière s’arrêter. Alors comment prendre des mesures impopulaires qui pourtant sont dans l’intérêt du pays ? Il faudrait trouver des politiciens qui se moquent de subir l’opprobre, la vindicte populaire, de se faire huer ? Il faudrait peut-être que les mandats soient non renouvelables ce qui freinerait le carriérisme en politique ?

  • Comment faire pour embarquer toute son équipe dans l’aventure de l’entreprise ? Comment se doter d’une force de production efficace qui produit et génère du résultat ? Je pense que la meilleure stratégie réside dans la maîtrise du soutien que le manager apporte à son équipe. C’est l’énergie, le self-control, la capacité de travail que développe le manager qui vont impacter sur toutes les personnes qu’il a en charge. Il devient l’exemple à suivre, le guide, celui qui bat la mesure.

  • Un bon coup de gueule vaut plusieurs centaines de millions… Entre les grèves, les actions coup de poing et toutes les autres agitations, le budget voté n’a qu’à bien se tenir. On a presque l’impression qu’il suffit de crier un peu fort en ce moment pour obtenir un coup de pouce financier. Le déficit prévu pour 2016 devait s’établir à 72,3 milliards d'euros, soit 3,3 % du PIB, sur une hypothèse de croissance de 1,5 %. Pas sûr qu’on aille au bout...

    A notre niveau, le mieux que l’on puisse faire est de dynamiser nos entreprises, en tant qu'entrepreneur ou salarié. Même si les métiers du chiffre ne sont pas en crise, comme je le dis toujours, c’est bien d’avoir du travail. En plus, c’est l’heure de préparer plus que jamais la période fiscale. A peine sortis des N4DS, il faut travailler dès maintenant pour prévoir le coup. Sortez les calculettes, c’est maintenant que les comptes doivent être nettoyés. C’est également le moment de commencer à préparer ces fiches de révision, rattraper le retard accumulé, bref de mettre un bon coup de pied dans la fourmilière pour repartir à fond !

  • Et comme il est de coutume de se souhaiter la bonne année, avec tous les vœux de bonheur et de réussite, nous ne dérogerons pas à la tradition en vous souhaitant toujours autant de réussite à vos examens, au travail et également une année remplie de bonheur dans votre vie personnelle.

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