Définition : Un ensemble d’hypothèse censé décrire un certains aspect ou un phénomène de l’économie.
Exemple : Etudier le choix d’un consommateur afin de comprendre la formation d’un bien est une étape importante pour comprendre le fonctionnement du marché où s’échange ce bien. L’objectif est de trouver l’explication d’un phénomène et pouvoir prédire le étudié. Ex : Est-ce que l’augmentation du prix du tabac peut baisser la consommation ?
La science économique se propose d’étudier comment sont réalisées les choix à l’utilisation des ressources rares et comment ces choix se coordonnent. La microéconomie étudie les choix des unités de décision individuelles, comme le consommateur et l’entreprise, et comment ceux-ci sont rendus compatibles. Exemple : Comment le consommateur prend-il sa décision ? Quel est le volume de production et de travail décidé par l’entreprise ?
La microéconomie est l’étude des moyens par lesquels les individus et les sociétés utilisent des ressources rares afin de satisfaire des besoins et des devoirs illimités. Ex : comment allouer le temps de manière optimale ?
La rareté des ressources, pour l’individu : Ressources budgétaires, Temps, Ressources physiques.
La rareté des ressources, pour la société : Meilleure santé, Éducation de meilleure qualité, Moins de pauvreté, Meilleure qualité de l’environnement…
Le produit de deux matrices A et B existe si le nombre de colonnes de la première matrice A est égal au nombre de lignes de la deuxième matrice B.
Une matrice est un ensemble d’éléments disposé en lignes et en colonnes. Une matrice notée, A, d’ordre (m * n) est un tableau d’éléments formant m lignes et n colonnes. Chaque élément de ce tableau sera noté par aij où i désigne la ième ligne et j désigne la jème colonne. Mathématiquement, on peut écrire une matrice de la façon suivante...
On a vu que la société française n’est pas restée à l’écart d’un mouvement que l’on peut qualifier de course au gigantisme. Les rapprochements se comptabilisent en milliard d’€. Il s’agit d’une recomposition du capitalisme français.
Toutes ces problématiques renforcent une variable étudiée depuis une vingtaine d’année : l’organisation relationnelle. Les performances japonaises ont été imitées : chasse au gaspillage, réduction des stocks, attention davantage focalisée sur les opérations ne créant pas directement la valeur ajoutée. Le Taylor-fordisme se focalisait sur la productivité uniquement.
L’analyse systémique. L’approche système est dominante dans l’approche de l’entreprise. En tant qu’organisation, l’entreprise est un système ouvert, régulé et finalisé. Les flux sont rentrants et sortants. Les flux rentrants : infos, personnel, matières premières… Les flux sortants : produits…
Le management est un changement de perspective par rapport à l’économie car le regard que nous portons sur l’entreprise est celui de l’analyste qui est situé non pas à l’extérieur mais au sein même de l’organisation. La réalité de l’entreprise est quelques fois éloignée de l’apprentissage effectué en économie.
Définition : c’est une activité exercée sous le contrôle d’une unité institutionnel qui combine des ressources main d’œuvre et en capital pour fabriquer des B ou S. Production marchande : C’est la production de B ou S destiné à être vendu sur un marché à un prix couvrant au moins leurs couts de production. Production non marchande : C’est la production de S qui sont fournis gratuitement ou quasi-gratuitement, ces services sont principalement assurés par les APU, les ménages et les ISBLSM. Ils ne peuvent pas être vendus sur un marché. Leur valeur est calculée à partir de leurs couts de production.