Trois ans après l'accord de Paris, où en est-on ? Pour l'instant, pas un seul pays n'est aligné sur les objectifs fixés par l'Accord de Paris. Ces objectifs consistent à limiter le réchauffement climatique en dessous de 2°C d'ici 2100. Pour cela, la France s'est par exemple engagée à diminuer ses émissions de gaz à effet de serre de 40 % d'ici à 2030. Pour l'instant, on en est bien loin, ces émissions sont même à la hausse : 459 millions de tonnes de CO2 rejetés en 2016, 466 en 2017, soit une hausse de 1,7 %.
L'expression espèce en danger de disparition ou espèce en danger critique d'extinction désigne toute espèce en péril exposée à une disparition ou à une extinction imminente. C'est le dernier niveau de risque avant l'extinction de l'espèce à l'état sauvage.
C’est la déforestation à grande échelle, le déversement massif de pesticides dans les sols et les cours d’eau, d’hydrocarbures dans les mers, la surpêche, les émissions de gaz à effet de serre... qui provoquent la disparition de nombreuses espèces sur la planète.
Alors que nous sommes au cœur de l’hiver et que les températures jouent au yoyo, la question du coût et du choix de l’énergie de chauffage se pose. Fioul, bois, électricité, gaz… quels sont les modes de chauffage les plus utilisés, les plus rentables et les plus écologiques ?
L’écologie, terme inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel, est définie aujourd’hui comme une science qui étudie les relations entre les êtres vivants (humains, animaux, végétaux) avec leur environnement. Les politiques européennes ainsi que celles d’autres pays dans le monde, la conjuguent de plus en plus avec l’économie.
5 000 éoliennes sont nécessaires pour générer autant d'électricité qu'une centrale nucléaire. Sur l’année 2016, les parcs éoliens français ont délivré un volume de 20,7 TWh soit 3,9 % de l’électricité produite.
La consommation de ressources constitue une première approximation des autres pressions et impacts sur l’environnement. Sa maîtrise, ainsi qu’une gestion plus durable des ressources naturelles, peuvent être de nature à atténuer ces impacts : amélioration de la productivité des ressources utilisées (combien d’euros sont générés par unité de masse d’une ressource), diminution de la toxicité et de l’écotoxicité des substances et matières consommées, produites et rejetées par l’économie, prévention de la production de déchets. Une autre voie d'amélioration consiste également à considérer le déchet comme une nouvelle ressource possible en entrée d’économie, afin de rendre les processus de production davantage « circulaires » (en opposition à linéaires).
Ce qu’on appelle ici papiers, ou encore papiers-cartons, regroupent : papier, cartons, caisses en carton, journaux, emballages ménagers, magazines, etc. Le processus de recyclage est proche, et ce sont les mêmes centres et usines qui les recyclent. Le taux de récupération du papier est bon, il est passé de 40 % à 72 % en une vingtaine d’années grâce à l’effort de tous. Il a permis, en outre, de créer une filière économique exportatrice.
Pourtant, sans être un écologiste militant, il faut bien reconnaître que la production de déchets est inquiétante : chaque français produit par an, 374 kg d’ordures ménagères (déchets de vos poubelles) et 214 kilos d’autres déchets tels qu’encombrants, déchets « verts » (des jardins), et autres apports en déchetterie (chiffres de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (ADEME) dont l’année de référence est 2009), soit près de deux fois plus qu’en 1960.
Tout comme dans l’immobilier, installer une éolienne revient d’abord et avant tout, à choisir un bon emplacement. Les éoliennes démarrent avec peu de vent, de telle sorte qu’une brise suffit à la faire tourner. Une éolienne nécessite d’avoir suffisamment d’espace pour l’installer. Sachant qu’une éolienne classique domestique fait environ 10 mètres de hauteur avec des pâles de 4-6 mètres de diamètres, c’est une situation compliquée en ville.