• Dans la vie d’un entrepreneur, le démarrage de l’activité est une phase aussi délicate que décisive. Pendant les premiers mois, les premières années, il faut s’autocontrôler et ne pas s’emmêler les pinceaux entre les différentes tâches qui incombent au créateur. La pression est forte et les revenus ne sont pas forcément au rendez-vous. C’est un moment difficile que tout le monde cherche à écourter le plus possible. En fonction de ses besoins, l’entrepreneur a pu contracter un emprunt professionnel, il doit payer un loyer à titre personnel ou encore assurer des revenus pour sa vie de famille. Heureusement, des aides existent pour permettre un meilleur départ professionnel dans le monde de l’entrepreneuriat.

  • Vous devez pouvoir travailler pour votre société dans un local approprié sans contraintes extérieures. Le cumul d’une vie personnelle, vie scolaire et vie d’apprenti en entreprise est déjà ardu. Pour que vous puissiez réussir à trouver du temps pour votre projet, il est essentiel de considérer ce dernier comme votre récréation. Il faut être honnête, personne ne peut sur une longue période cumuler plusieurs emplois.

    Amusez-vous à monter votre société. Vous le savez, il sera toujours plus facile de s’amuser que de travailler !

  • Deux événements de la semaine nous incitent à réagir. Le premier : Maurice Levy est le patron de Publicis, et son conseil de surveillance vient de lui octroyer un bonus de 16,2 millions d'euros, ce qui fait hurler toute la population bien pensante, d'autant plus en période électorale. Le deuxième est le rapport « Fiscalité et redistribution en France, 1997-2012 » du tout nouvel Institut des politiques publiques. Ce qu'ils ont en commun est la méfiance, voire le rejet de l'entrepreneuriat et de sa réussite en France, alors que l'aristocratie, elle se préserve.

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