L'histoire des faits économiques se définit comme l'étude et l'analyse des faits économiques du passé. Les phénomènes économiques étant l'ensemble des activités de production et d'échange des biens et services. Elle peut avoir comme domaine d'études toutes les périodes à partir desquelles les hommes se sont mis à produire et à échanger des biens et services.
On a vu que la société française n’est pas restée à l’écart d’un mouvement que l’on peut qualifier de course au gigantisme. Les rapprochements se comptabilisent en milliard d’€. Il s’agit d’une recomposition du capitalisme français.
Toutes ces problématiques renforcent une variable étudiée depuis une vingtaine d’année : l’organisation relationnelle. Les performances japonaises ont été imitées : chasse au gaspillage, réduction des stocks, attention davantage focalisée sur les opérations ne créant pas directement la valeur ajoutée. Le Taylor-fordisme se focalisait sur la productivité uniquement.
L’analyse systémique. L’approche système est dominante dans l’approche de l’entreprise. En tant qu’organisation, l’entreprise est un système ouvert, régulé et finalisé. Les flux sont rentrants et sortants. Les flux rentrants : infos, personnel, matières premières… Les flux sortants : produits…
Le management est un changement de perspective par rapport à l’économie car le regard que nous portons sur l’entreprise est celui de l’analyste qui est situé non pas à l’extérieur mais au sein même de l’organisation. La réalité de l’entreprise est quelques fois éloignée de l’apprentissage effectué en économie.
Attention, une entreprise peut ne pas offrir au marché 100 % de ses actions. La part qui s’échange sur les marchés est appelée le « flottant » et peut tout à fait être minoritaire. Par exemple, EDF n’a que 20 % de ses actions en bourse, donc 20 % de flottant.