Il existe 3 types de subventions : la subvention d'investissement, la subvention d'équilibre, la subvention d'exploitation.
À Paris, le budget, ça ne s’improvise pas ! Et c’est tant mieux pour les Parisiens d’ailleurs. Fin du mois d’octobre, le Conseil municipal de la ville débat sur les orientations budgétaires à prendre avant de voter le budget parisien au mois de décembre.
En effet, le budget est voté par l’assemblée délibérante de la collectivité sachant que la tenue du débat d’orientation budgétaire dans les deux mois précédant le vote du budget est obligatoire. À Paris, ce sont 7 commissions du Conseil de Paris, tant en formation de conseil municipal que de conseil départemental qui ont pour vocation d'informer les conseillers de Paris sur la situation financière de la ville et d'effectuer un travail préparatoire sur les dossiers avant la présentation des grandes orientations pour l’année à venir devant le Conseil de Paris en formation plénière.
Il est à noter qu’étant à la fois commune et département, la capitale doit élaborer chaque année un double budget, dont les règles très strictes sont définies par le Code général des collectivités territoriales (CGCT).
On imagine que l’on amortit comptablement ce télésiège sur 20 ans et qu’à cette échéance la DSP arrive à son terme. La Valeur Nette Comptable (VNC) de l’appareil est donc nulle au terme de la DSP. Imaginons 2 niveaux de rentabilité différente pour cet investissement (graphique 2) Cas A : L’appareil génère un chiffre d’affaires (CA) annuel de 717 000 €. Cas B : L’appareil génère un chiffre d’affaires (CA) annuel de 523 000 €.
Le Grand Paris c’était l’arlésienne, le type de sujet que l’on a l’impression d’avoir toujours connu, qu’il a toujours été au cœur de toutes conversations… Depuis 2007, l’idée circule que Paris est en train de perdre sa place de métropole mondiale et qu’il faut un projet ambitieux pour se hisser au niveau de Tokyo, New-York ou Londres. En effet, aujourd’hui Paris, c’est toujours la ville de Paris et une frontière avec sa banlieue ; un peu comme toute notre bonne vieille France : hiérarchisée, cloisonnée, rigide. Or, les métropoles mondiales sont ouvertes, fluides et dynamiques. Il faut déconcentrer, redynamiser...