• En alternance, il y existe deux types de contrats de travail : le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation. Le contrat d’apprentissage est diplômant. Il débouche sur un diplôme d’État : CAP, BTS, Licence, Master… Le contrat de professionnalisation quant à lui est qualifiant. Il atteste que l’on a acquis une qualification professionnelle reconnue : un diplôme ou un titre professionnel enregistré dans le Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ; un certificat de qualification professionnelle (CQP) ; une qualification reconnue dans les classifications d’une convention collective nationale.

    Il faut le rappeler tout de même, l’alternance est un moyen de continuer ses études sans dépenser d’argent dans sa formation (pour l’étudiant évidemment) et où le travail est rémunéré très avantageusement. On va y revenir !

  • Il faut bien comprendre que peu importe votre bonne présentation […]

  • Il est toujours difficile pour un dirigeant de choisir le mode de rémunération le plus adapté à ses besoins. Il dispose de plusieurs options. Il peut se verser une rémunération ou des dividendes. Mais d’autres formes de rémunération peuvent être envisagées. C’est le cas des avantages en nature ou de la rémunération d’un compte courant. Pour toutes ces solutions, le dirigeant a besoin de trouver l’optimisation la plus aboutie pour payer le moins de charges possible sur ses rémunérations.

  • Un cabinet d’Expertise-comptable est généralement organisé d’une manière hiérarchique assez précise et ce, quelle que soit sa taille. On distingue 4 postes essentiels : les stagiaires ou apprentis, l’assistant ou le collaborateur, le chef de mission et enfin le ou les experts-comptables et commissaires aux comptes.

    Il est assez classique de trouver encore aujourd’hui, l’assistant en charge d’un client qui réalise toutes les tâches associées à ce client : la comptabilité, la paie, la fiscalité, etc.

  • Pour faire suite à notre article sur les pouvoirs de décisions des salaires des patrons (et ici nous pensons aux grands patrons), et si le patronat n’arrive pas à comprendre, qu’en l’état actuel, l’autorégulation ne fonctionne pas, le salaire des patrons sera encadré, et pas forcément de la meilleure manière. Par ce symbole des rémunérations, la gouvernance de nos grandes entreprises semble elle aussi promise au changement.

  • C’est au tour du patron de l’assureur AVIVA de démissionner suite à la polémique sur sa rémunération après une fronde de ses actionnaires, 54% ayant voté contre le rapport sur les rémunérations des dirigeants. Avant lui, ce sont les patrons de CITIGROUP ou de BARCLAYS qui ont dû démissionner ou renoncer à une partie de leur bonus. Il n’y a pas qu’en France où la question se pose. Pourtant, ces votes d’actionnaires ne sont pas contraignants la plupart du temps. Alors qui décide quoi, et est-ce que les actionnaires ou associés sont correctement informés ?

  • Selon le principe du désintéressement de la gestion et celui de la non lucrativité, chacun des membres de l’association, mis à part les salariés, devraient être des bénévoles.

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