Nous nous sommes intéressés à ce calendrier estival qui prévoyait pas moins de 48 réunions avec les syndicats pour discuter de toutes les réformes sociales à venir. Seul bémol, aucun syndicat n’a reçu les textes pour les étudier. Ces réunions se sont donc toutes déroulées sans information écrite du gouvernement.
Le changement est demandé. Alors, est ce que M. Macron va nous l’apporter et satisfaire au moins une partie de la société française ? Réponse dans les prochains mois.
Quant à l’élection présidentielle, le dénouement arrive à grands pas. Ce sera la finalité d’une incroyable série française qui fut passionnante. Après des heures de débats assortis d’un soupçon de programmes, des journées entières de commentaires faits par des spécialistes politiques de tous bords et de différents médias et des feuilletons judiciaires, cette élection 2017 du Président de la République française aura été sportive et les retournements de situations auront été nombreux. On espère que ces débats laisseront place à l’action politique !
L’élection présidentielle française approche. La course aux promesses, aux accusations, aux bilans est enclenchée. Entre annonces, scandales et programmes, l’actualité politique française est chargée. J’ai, à maintes et maintes reprises, entendu un dicton dont j’ai repris l’usage, « les promesses n’engagent que ceux qui les croient ». Espérons que ces promesses électorales de redressement économique du pays, de continuité sociale, de liberté, d’égalité et de fraternité seront tenues cette fois-ci !
L’élection présidentielle française approche. La course aux promesses, aux accusations, aux bilans est enclenchée. Entre annonces, scandales et programmes, l’actualité politique française est chargée. J’ai, à maintes et maintes reprises, entendu un dicton dont j’ai repris l’usage, « les promesses n’engagent que ceux qui les croient ». Espérons que ces promesses électorales de redressement économique du pays, de continuité sociale, de liberté, d’égalité et de fraternité seront tenues cette fois-ci !
Chaque année c’est pareil. Dès janvier, comme pour annoncer la bonne année, chaque école supérieure vous envoie sa plaquette commerciale pour se présenter. Ecole d’ingénieur, CFA, chambre de commerce, toutes les entreprises se sentent extrêmement convoitées. Régulièrement, on a même le droit à des chargés de relations écoles-entreprises qui veulent nous rencontrer. Le service comptable est enfin au centre de toutes les attentions. Le comptable est enfin remarqué, il est écouté, il détient le pouvoir suprême.
3, 2, 1, Bonne année ! Tous mes vœux de bonheur, de réussite à vous, chers lecteurs de Comptazine. Je vous remercie pour votre soutien, vos messages et votre engagement. Pour cette nouvelle année, nous avons cherché un slogan. Alors, 2017 l’année de la fête ? Je ne sais pas encore, mais ça en prend bien la tournure ! Après le réconfort passons à l’effort !
Il faudra vous remettre rapidement de vos émotions pour attaquer toutes les modifications sur les dossiers de paie. Changement de taux, de bases, mise en place de la DSN pour les retardataires, le programme est chargé. C’est le top départ jusqu’à la fin du mois pour boucler la N4DS.
Alors que devons-nous craindre ? Depuis quelques jours, tous les médias s’affolent mais rappelons-nous que Donald Trump n’avait pas caché lors de son discours d’investiture à la convention républicaine, ses objectifs emprunts de tendances isolationnistes qui pourraient conduire à une politique étrangère américaine avec sortie de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce). Les accords sur le climat seraient remis en cause… le chômage va-t-il vraiment diminuer aux Etats‑Unis ?
Alors que choisir ? Faut-il considérer que lorsque la plupart des autres vont dans une direction c’est sûrement la bonne ? Quelle est la probabilité que tout le monde se trompe ? Sommes-nous des moutons ? Puis-je fonder mon choix sur la pensée collective en prenant ainsi le risque qu’elle puisse être faussée au gré des avis et des sondages, ou dois-je garder mon libre arbitre ? Si l’on pense qu’en se fiant totalement à un groupe de personnes, un risque d’erreur existe, il est alors nécessaire d’estimer la probabilité que ce risque se réalise. Si celle-ci est forte, il faut écarter le risque ; si au contraire, elle semble faible, il ne faut pas trop s’en soucier. En outre, selon l’importance du sujet, des enjeux, il faut plus ou moins se laisser influencer par l’opinion générale.
Il est vrai qu’il y a une certaine forme de jalousie pour certains vis-à-vis des créateurs d’entreprises. Je ne compte plus les « ça ne fonctionnera pas » ou les « mais ça te rapporte ton truc ? ». Pourtant, ces interactions sont souvent source d’amélioration des projets puisque les intervenants ne cherchent qu’à « casser » l’idée. Me concernant, l’effet inverse s’est produit dans la mesure où cette situation a généré un sentiment de « challenge ». C’est ainsi que mes projets personnels ont pu évoluer rapidement. Il faut donc savoir recevoir des critiques et les transformer en critiques constructives afin d’en retirer un bénéfice.