Avoir de la clientèle et produire du chiffre d’affaires est une excellente chose pour une entreprise. C’est son poumon, son moteur, le facteur qui va ensuite rythmer tout le reste de son organisation. Une entreprise qui réalise tout son chiffre via un client ponctuel dans l’année va être extrêmement stressée alors qu’une entreprise qui multiplie les clients et qui s’est constituée une clientèle fidèle va pouvoir gérer sa situation avec moins de stress et on l’imagine, avec plus d’efficacité.
La mercatique peut-être définie comme un ensemble d’actions menées par une entreprise qui a pour but de prévoir, constater, stimuler ou renouveler les besoins des consommateurs. L’état d’esprit mercatique conduit donc l’entreprise à se placer du point de vue du consommateur pour prendre les décisions lui permettant de répondre au mieux à ses besoins. L’entreprise étudie le marché constitué des consommateurs et des entreprises concurrentes pour bien cerner les besoins et les attentes des consommateurs et repérer comment les concurrents y répondent.
A la clôture hier soir, le CAC 40 affichait 3135.18 points, soit une capitalisation totale, au cas où vous auriez décidé de vous offrir toutes les entreprises, de 814.59 milliards d’euros. C’est bon ou c’est pas bon ? Et bien, les deux mon capitaine. Car 814.59 milliards représentent à peine une fois la somme des fonds propres des sociétés composant l’indice, ce qui est absurde. Mais à la fois, ce niveau offre depuis la création de l’indice, le 01 octobre 1987 initié à 1000 points, un rendement d’environ 5% par an sur 25 ans, ce qui n’est pas si mal.